Collection Les Chiennes. L’Expérience Improbable (1/1)

Aujourd’hui, je mets en ligne une nouvelle collection, celles que j’ai déjà créées ne correspondaient en rien aux histoires que cette nouvelle série va contenir.
J’espère qu’elle vous plaira, voilà comment tout a commencé.

Il y a cinq ans j’ai fini mes études de chimiste.
J’ai trouvé un travail dans un laboratoire de recherche pour une société faisant des produits cosmétiques très connus et vendus en grande surface.

La chimie, c’est toute ma vie, tout a commencé quand j’avais onze ans, à Noël, le père Noël m’a apporté « la mallette du parfait petit chimiste. »
Je suis devenu accro de mélanges en tout genre.
J’ai même failli faire mourir toute la famille en mélangeant des produits ménagers trouvés sous le lavabo de la salle de bains.
Ce jour-là, seul le chat a été la victime de mon inconscience.

Je venais de mixer deux produits quand maman m’a appelé pour partir chez ma grand-mère.
Au retour une drôle d’odeur et une espèce de fumée orange se trouvaient dans la maison.
Coup de chance, maman avait des notions de chimie et s’est méfiée, nous sommes restés à l’extérieur.
Elle a appelé les pompiers qui sont rentrés avec des appareils respiratoires.
L’un d’eux est ressorti avec le verre en Pyrex fourni dans ma mallette où j’avais fait mon mélange, ça fumait encore.
La chance avait été avec moi, si j’étais resté au lieu d’aller chez mamy je serais mort.
Un deuxième pompier est sorti avec la dépouille de mon chat qui dormait dans son panier au pied de mon lit.
Nous l’avons enterré dans le jardin, et ma mallette, mes parents l’ont mis à la poubelle.

Hélas, pour mes parents, j’avais pris le virus, j’étais même premier à l’école en cours de chimie.
J’ai appris à faire des boules puantes avec du soufre, de la limaille de fer et un autre ingrédient que je tairais car le chat qui est mort m’a servi de leçon.
Inutile qu’un ado boutonneux tombe sur ces lignes et fasse une blague dans sa classe.



Moi, je l’ai fait, le prof a eu le malheur de mettre à la poubelle les restes de sa préparation.
Alors avec Marc lors de la récré, nous avons crocheté l’armoire du matériel de chimie, récupéré le mélange solide dans la poubelle, le liquide et nous en avons versé comme il l’avait fait.
Nous étions à la porte de la classe quand l’odeur de merde nous a rejoints.
Nous avons retrouvé la récré mais au retour, la prof de français venue préparer le tableau pour son cours, avaient appelé les pompiers une nouvelle fois.
Bien sûrs, nous nous sommes dénoncés avec Marc, hors de question de faire porter la responsabilité de nos actes à toute la classe.
Sanction pour nous, trois jours de mise à pied !

Il y a un an, j’ai épousé Jennifer, elle était en fac pour devenir prof de Français et moi pour devenir ingénieur chimiste.
Nous avons réussi nos études tous les deux et je l’ai épousée dès que nous avons eu les moyens de nous assumer.
Notre nuit de noces a été très classique, je l’ai prise dans mes bras, fait franchir la porte de notre pavillon et de notre chambre à coucher.
Il y avait longtemps que je lui avais pris sa petite fleur dans sa chambre de jeune fille.
Rapidement, je me suis aperçu que le sexe et elle ça faisait deux, même si elle reste passive.
Au début, j’ai cherché à la stimuler, je lui offrais des tenues sexy qu’elle mettait mais oubliait rapidement.
Elle a rapidement pris l’habitude de baiser la lumière éteinte, dans la position du missionnaire.
Je suis à deux doigts de chercher une maîtresse, une qui bouge sous la bite du mâle, une vraie cochonne.
Je connais un collègue dans mon labo qui adore parler de cul.
Même le cul de sa femme, il aime le raconter, j’en ai honte pour elle.
Je pourrais vous expliquer point par point comme elle le suce, comment elle le provoque en tortillant de son gros postérieur.
Je l’ai déjà vue, c’est loin d’être une bombe, Jennifer, c’est Miss France à côté, mais une miss sèche de la chatte.

Elle, c’est un gros cul, mais un cul me faisant envie, le cul d’une chienne en comparaison au cul de celle que j’ai épousée.

Pourtant, nous avons eu un regain d’activité sexuelle quand nous sommes allés en voyage de noces à la Réunion.
Nous avions un bungalow donnant sur la plage et pendant ces quinze jours, j’ai réussi à la baiser sur le sable, lors de promenades au clair de lune.
La première fois, c’était devant l’hôtel sur l’un des transats où nous lézardions.
C’est la seule fois jusqu’à ce jour qu’elle a accepté de se placer en levrette.
Un soir, c’est dans l’eau, au bord bien sûr, que nous avons roulé, je lui ai mis ma bite directement en hurlant et elle et moi.
Du sable sur ma verge lui a déchiré l’intérieur du vagin, en faisant de même tout le long de ma tige.
Nous avons arrêté là nos exploits aquatiques.

Sur l’île, au cours des balades, j’emportais des sacs en plastique, je les remplissais de plein de fleurs et bourgeons.
J’en avais tellement amassé que pour repartir, j’ai viré des vêtements pour tout emporter.
C’est dans la cave de notre pavillon que je les ai retrouvés il y a huit jours.
Dans cette cave, ma passion m’ayant repris, j’ai installé un mini laboratoire.
Un vrai, pas comme celui de mon enfance, avec principalement un système de ventilation sophistiqué.

C’est un soir de téléthon que je l’idée m’est venue.
L’argent que ma mamy m’avait laissé sur un livret m’a servi après sa disparition.
Je vous vois venir, elle est morte de vieillesse et non pas à cause de mes expériences !
Je voulais chercher même chez moi des médicaments pour ces s rattrapés par la maladie.
Je sais, c’était utopique, mais je suis comme ça, du moment que je mélange, je suis comme ces chercheurs qui dans leurs petits laboratoires ont fait de grandes découvertes ou pas.
Je sais que c’est à Saint-Loup-de-Varennes en Saône et Loire que Nicéphore Niepce a inventé la photographie.

Avec Jennifer nous avons notre pavillon près de là, serais-je le nouveau Nicéphore de ma région ?
Je suis un peu bordélique, je rangeais des tiroirs quand les plantes ramenées de la Réunion me sont ré-apparues, je les avais oubliées.
Immédiatement, j’ai pilonné des fleurs de Salva qui étaient sèches depuis le temps.
Salva, le nom était sur le paquet car avant de partir, j’étais allé voir un herboriste de l’île qui m’avait aidé à mettre des étiquettes sur chaque sac en plastique où je les avais rangés.

Ça faisait deux jours que je pilais, tamisais la Salva avec diverses plantes marquant les quantités et avec quoi je les mélangeais.
À un moment, j’ai presque fini mon verre de whisky quand je venais de finir un mélange dans une éprouvette.
Plus de verre en Pyrex propre, je voulais faire chauffer le mélange, par pure paresse, je mets le mélange dans mon verre de whisky.

C’est à ce moment que mon téléphone sonne, c’est Marc mon ami et témoin de mariage comme je l’avais été pour le sien avec Sissy qui m’appelait pour prendre de nos nouvelles et nous inviter à manger le samedi soir prochain.
Je sais que Jennifer adore Sissy, elle la considère comme sa petite sœur.
C’est à ce moment que je me rends compte que mon verre contenait encore du whisky, et que le mélange de Salva et autres ingrédients est mélangé avec.

Comme je l’ai dit je suis un rien flegmatique, je reprends mes expériences.
Comme tout bon chercheur, je me passionne sur la suite d’une recherche que je voulais faire macérer vingt-quatre heures, oubliant le verre de whisky et sa mixture.
Quand je suis dans mes délires créatifs, j’oublie l’heure, Jennifer vient me rejoindre.

- Bonsoir chéri, tu vas venir manger, les petits s seront sauvés plus tard.
J’ai un paquet de copies à corriger et tu sais que j’ai horreur de faire ce travail la cuisine en désordre.
Je remonte, je t’attends.

Ce qui arrive à ce moment-là, est indépendant de ma volonté.

Jennifer me parle, mais je me concentre sur les unes, deux, trois, quatre gouttes de serpolet que j’ai décidé d’incorporer, je crois beaucoup aux vertus de cette plante.

- Tu as encore descendu un verre avec du whisky dans ton labo, tu sais que je te l’interdis.
Regarde, il en reste, c’est dangereux.

Ce mot « dangereux » arrive jusqu’à mon cerveau, je me retourne, je vois Jennifer boire ce qu’elle pense être du whisky.

- Chéri, tu as changé de marque pour notre whisky, il a un drôle de gout.

Elle me dit ces mots en montant la première marche de l’escalier, le bras levé attrapant la dernière goutte.
C’est sûr, je viens de faire mourir ma femme comme j’ai fait mourir mon chat.
Rapidement j’évalue, ça, ça, ça, à part la Salva qui peut être potentiellement dangereuse, rien de bien méchant.
Au bas mot, une chiasse pourrait la toucher, je préfère ne rien dire.
Je travaille encore cinq minutes et je monte voir l’effet de ma recherche sur Jennifer.

- Te voilà, j’ai chaud, j’ignorais qu’un fond de whisky pouvait me mettre dans cet état.
Dis-moi, j’aimerais que tu me baises ?
Prends-moi comme une chienne.
Tout de suite, là sur la table.
Allez sort ta queue sinon je sors le concombre du frigo !

Une femme est montée, je retrouve une chienne qui fait voler ses vêtements et vient se coller à moi.
Le moment de stupeur passée, je la colle le long de mon corps, je prends sa bouche.
Pardon, elle me viole littéralement la bouche, sa main m’attrapant les couilles à travers mon pantalon.
Je la trouvais réservée, je retrouve une autre femme qui descend le long de mon corps, ouvre ma braguette et se met à me sucer.
Je bande facilement à mon âge, mais là la tension monte d’un cran, j’ai l’impression que je vais éjaculer.
Sur la table, c’est sur la table comme elle me l’a demandé que la plus belle jouissance depuis que je la connaisse la traverse.
Je dis jouissance, je devrais dire tempête, tremblement de terre.

Nous mangeons, à poil, à peine fini, Jennifer vient sur mes genoux.

- Nous avons trop attendu, bande, mon chéri, je veux que tu me massacres.
- Tes copies.
- Plus tard, viens ma chatte me brûle.

Salva, ça, ça, ça et ça, je viens peut-être de trouver le viagra pour femme.
Du moins pour la mienne.
Pour soigner les s, je verrai plus tard.
Une seule chose reste à vérifier dans quelques heures, voir si ma femme est toujours vivante.
Sinon, je serais le génie qui aura trouvé un remède à la frigidité féminine.
Toutes les femmes seront de véritables chiennes.
Tous les mecs ayant des femmes frigides me dresseront des lauriers.

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